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Recherche par auteur : Inoue, Hisashi

2 résultats.

Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 15h. 9min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 79087
Résumé:Dans le riche comté d'Awa, les humains cultivent l'indigo tandis que les tanukis multiplient farces et métamorphoses. Pas un jour ne passe sans qu'un habitant ne soit victime d'une de leurs facéties : ils se transforment en bouilloire inépuisable, en pont de pierre (gare au plongeon si on se risque à l'emprunter), voire en humain (au risque d'être trahis par leurs yeux cernés de noir ou un toupet qui dépasse). Leur génie bienveillant est sans limites. Aussi, lorsque l'infâme intendant du gouverneur menace d'enlever Omiyo, la fille du maître teinturier, c'est un tanuki qui vole à son secours. Pompoko pon ! Mais c'est compter sans la fourberie ancestrale des renards qui ne sont jamais loin...
Lu par : Raymonde Aubert
Durée : 29h. 36min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 20350
Résumé:Durant les derniers mois de la guerre et le début de l'occupation américaine, un fabricant d'éventails d'un vieux quartier de Tôkyô tient son journal, d'avril 1945 à avril 1946. Il apprend par hasard le projet d'une commission américaine de remplacer les idéogrammes japonais par l'alphabet romain, de façon à couper le Japon de son passé nationaliste. Les sept femmes de sa maisonnée décident alors de former un groupe secret pour faire échouer ce projet. Surnommées « les 7 Roses de Tôkyô », elles vont user de leurs charmes pour séduire des membres de la commission. Elles y réussissent brillamment : les hommes sont photographiés nus en train de batifoler avec elles dans une chambre de l'Hôtel Impérial...Cette année 1945 est une année sombre pour le Japon, marquée par les bombardements et la capitulation de l'empereur. Le journal de Shinsuke est toutefois étonnement allègre, une évocation débordante d'humour et nourrie d'une foule de détails sur la vie au jour le jour sous l'occupation américaine, la débrouillardise, les combines du marché noir, les tracasseries administratives, la contestation, les malentendus et rebondissements rocambolesques. Il trace un portrait vivant et chaleureux du peuple japonais qui, en dépit des privations, trouve sa délivrance dans le rire.